Acte 2 :
Samedi 14H00 (a peu prés ...)
Je lis vos messages, je m’énerve, je descend à la voiture prendre les papiers, la doc de la voiture est bien celle d'une biturbo, fiche technique 285 CV, 4 roues motrices, et la je me dis, une doc c'est pas fiable, ça se change, me faut une vrai preuve. J’appelle un pot garagiste, je lui montre vos posts, je descend avec lui au garage, on ouvre le capot, le couperet tombe : "T'as pas de turbo sur ta voiture" me dit il... Et là, avec la confirmation de vos messages, je deviens fou. J’appelle le commercial sur son mobile, pas de réponse. Je téléphone au patron, avec qui j'ai négocié depuis le début (heureusement pour moi, comme ça j'avais son portable), pas de réponse : Je lui laisse un message sur son portable en lui expliquant calmement, que j'ai acheté une 285 CV et que je me retrouve avec une 225 CV !!! Je lui dit que je monte tout de suite à Rodez pour lui rendre sa voiture et récupérer mon argent et je lui demande de me rappeler urgemment. J'embarque mon pot, je lui file les clés de la TT, je prends les clé de la 3000 et let's go to RODEZ City. Le patron me rappelle, commence la mauvaise foi, en me disant que j'ai passé 2 heures avec son commercial, et que je me rend compte seulement le lendemain que la voiture ne me convient pas. Je réponds que ce n'est pas qu'elle ne me convient pas, c'est qui lui manque 100 Chevaux et que j'ai un peu l'impression de mettre fait avoir. Nous coupons court tous les deux à la discussion et il accepte de me rembourser. Je repars donc à RODEZ, de nouveau la pluie, cette fois en plus la neige sur l'autoroute, arrivée la bas vers 17H30, mon chèque m'attends dans le bureau du commercial. Et un gros OUF de soulagement dans mon moi intérieur !!! Je rentre à Montpellier avec ma TT et j'aurais, grâce à vous, était l'heureux propriétaire d'une 3000 GT, pendant 24 heures.
Encore merci, sans vous je serais entrain de ma manger les ...... !
MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, MERCI, et surtout MERCI !
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